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Mon journal d'écriture

9 octobre 2006

Réflexion - poésie

Bonjour!

Voici donc ma réflexion concernant la poésie traitée en classe au primaire et les exercices réalisés au cours universitaire Didactique de l'écriture et de la grammaire au primaire.

J’ai pris un véritable plaisir à réaliser les activités proposées par la professeure en salle de classe. N’étant pas une fervente de la poésie de prime abord, étant donné que j’ai toujours considéré que c’était trop compliqué à composer, j’ai toutefois pris conscience que des activités fort intéressantes en ce sens pouvaient avoir lieu, et ce, pour des élèves de tous les âges. Il suffit d’adapter! Nous ne devenons pas des Victor Hugo ou des Arthur Rimbaud du jour au lendemain, il faut commencer en quelque part! Il est donc nécessaire que les élèves aient la chance de vivre des expériences en écriture poétique dès le premier cycle du primaire afin de se familiariser avec la nature même d’un poème.

Je crois qu’initier les élèves dès le primaire à la poésie peut s’avérer être fort pertinent, puisque cela maximise l’acquisition d’apprentissages sur plusieurs plans (écriture, créativité, sonorité, rimes, allitération, onomatopée, assonance, etc.). Les activités en poésie peuvent souvent sembler prendre la forme ludique, mais les élèves apprennent beaucoup, tout en s’amusant. N’est-ce pas plus intéressant et motivant ainsi? Je crois bien que oui, et ce, surtout pour les plus jeunes! Pourquoi donc ne pas utiliser la poésie pour initier les élèves à la lecture et à l’écriture? Je crois bien que ce serait gagnant comme méthode.

Malgré le fait que les poèmes sont généralement des textes plus courts que ceux « traditionnels », ils ne sont toutefois pas si faciles à rédiger. Ils demandent un bon moment de réflexion et de préparation, voilà pourquoi j’ai trouvé que nous avons eu très peu de temps en classe pour réaliser les exercices en question d’une façon satisfaisante et de qualité. Les poèmes aussi peuvent se retravailler plusieurs fois, il faut avoir du temps! J’ai donc pris plaisir à la maison à compléter les exercices en jouant avec les mots et en essayant d’explorer les activités et les possibilités de réponses au maximum. J’ai également réussi à relever un défi, soit celui d’utiliser dans un poème les dix termes proposés commençant par la lettre « T » et les cinq expressions débutant par un « V », malgré le texte quelque peu incohérent que cela a donné. Je suis bien contente de cela, surtout que ce n’était pas une tâche facile. J’ai aussi beaucoup fait usage du dictionnaire afin d’avoir encore davantage d’idées, surtout que je désirais faire rimer le tout, ce qui a parfois été bien embêtant!

Je trouve que les élèves rédigeant de la poésie peuvent en ressortir une grande fierté, étant donné que celle-ci est très artistique et stylisée, si nous tenons compte de l’emploi de diverses sonorités et rimes. Ils peuvent ainsi laisser libre cours à leur imagination et avoir un texte bien personnalisé. La poésie peut également très bien se lier à d’autres disciplines, comme aux arts plastiques et à l’expression théâtrale. Je me souviens que j’ai réalisé au secondaire plusieurs activités poétiques en écriture et se rattachant aux arts, mais très peu au primaire. J’ai toutefois vu dans le cours Didactique de l’écriture et de la grammaire au primaire que même les élèves du premier cycle peuvent être initiés à la poésie, il faut seulement savoir bien l’exploiter avec eux!

Martine Leduc

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8 octobre 2006

Activités sur la poésie

Exercice sur l’allitération

Kristine, une canadienne vêtue d’une camisole kaki, caresse son koala et son kangourou dans la cour, pour finalement accourir jusqu’à la cuisine afin de croquer dans un kiwi.

Exercice sur l’onomatopée

« Miam! miam! » Qu’il est bon ce fromage!

Il est si frais qu’il fait « squik! squik! » dans la bouche, faisant ainsi un massage!

Il ne faut pas que j'en abuse, je dois être sage!

Je vais donc manger des Rice Krispies! « Cric! crac! croc! », comme l'indique l'image!

Poème et sonorité

La Séquestration

La Sentence

Le Suicide

Le Sang

Le Secouriste

La Sécurité

Poème et sonorité

J’étais dans mon automobile verte, buvant un thé.

Il était dans son camion violet, sirotant un café.

Je pensais à mon compte de taxes, toujours trop élevé.

Il pensait à sa vasectomie, subie la semaine passée.

Je songeais à faire un don au téléthon pour personnes handicapées.

Il songeait seulement à regarder la télévision, en soirée.

J’appréhendais ce que j’allais voir, ce qui était pour arriver.

Il n’appréhendait rien, trop occupé au téléphone, à jaser.

J’ai finalement renversé ma tasse, après avoir été frappée.

Il a renversé mes projets pour la journée en causant un accident de voiture, ce taré.

J’avais peine à reconnaître le timbre de ma voix, tellement j’étais choquée.

Il a décidé de reconnaître son erreur et a essayé de me calmer, de me toucher, afin de s’assurer de ma sécurité.

J’ai dit à cet homme ressemblant à Tintin de communiquer avec les autorités.

Il s’est dit d’accord et a utilisé son cellulaire, cet outil de télécommunication indispensable, pour appeler les policiers.

Ma réflexion suivra sous peu!   Martine Leduc

2 octobre 2006

Activité d'écriture - types de phrases

Bonjour!

J'ai décidé de rédiger un texte suivi sur le joueur de hockey Sidney Crosby, faisant suite à la thématique de ma carte conceptuelle de la semaine dernière qui portait sur notre sport national. Je considère que ce jeune athlète possède des qualités autant au plan humain qu'au plan sportif, faisant en sorte qu'il représente un modèle plus que positif pour les élèves partisans de hockey. Pour ceux qui éprouvent des difficultés en écriture, je crois qu'il peut être très intéressant d'avoir à rédiger un texte sur une personnalité publique qu'ils connaissent assez bien et qu'ils vénèrent. Le contenu demande ainsi un peu moins de réflexion, mais ils peuvent mettre plus d'énergie et de temps sur leur structure de texte et sur la correction de leurs erreurs. Il faut toutefois être à l'affût en tant qu'enseignante pour s'assurer que la vedette choisie ne fait pas référence à la violence ou à tout autre sujet inadéquat en milieu scolaire.

Alors, voici mon texte:

Rares sont ceux qui n’ont jamais entendu parler de Sidney Crosby, ce jeune joueur de centre de 19 ans évoluant pour les Penguins de Pittsburgh. Il a été le tout premier choix au repêchage de la ligue nationale de hockey (LNH) en 2005, après avoir évolué pendant deux saisons pour l’Océanic de Rimouski de la ligue de hockey junior majeure du Québec (LHJMQ). Le numéro 87 a un talent incroyable et indéniable, et celui-ci fait l’envie de plusieurs jeunes hockeyeurs nord-américains. Qui ne se souvient pas de ses prouesses sur la patinoire dans les rangs juniors et lors de sa première année dans la ligue nationale? Tous les amateurs de hockey s’en souviennent, bien évidemment! Comment oublier ce hockeyeur qui a fait couler tant d’encre dans la section des sports des journaux! La maturité dégagée par cet athlète de seulement 19 ans est aussi tout à fait hors du commun. Souvent interrogé par les médias, Crosby demeure toujours accessible, poli, calme et sérieux devant les caméras. Il a même appris le français lors de son passage dans la LHJMQ. Que demander de plus? Crosby a sans contredit un bel avenir devant lui. Ouvrez donc votre téléviseur au Réseau des sports (RDS) le 16 décembre prochain pour y voir à l’œuvre ce jeune prodige affronter les Canadiens de Montréal! Même s’il évolue pour l’équipe adverse, on ne se lasse pas de le voir manier un bâton et une rondelle, n’est-ce pas?

Si l'on regarde la longueur de mon texte, on constate évidemment que je ne l'ai pas rédigé en quinze minutes seulement, soit le temps accordé en classe universitaire. J'ai dû prendre plus de temps en soirée à la maison pour le travailler et pour le compléter afin d'être satisfaite de ma rédaction (perfectionniste que je suis!) et pour me conformer à la consigne de la tâche qui était de faire l'emploi de divers types et formes de phrases bien spécifiques. Cela m'a donc obligée à relire mes notes de cours à ce sujet, étant donné que j'étais plus ou moins à l'aise avec certaines notions, telles que les phrases impératives, actives et passives. La rédaction de mon texte s'est donc déroulée sans trop de facilité, même si de prime abord l'exercice paraissait assez simple en soi. Je me sentais très contrainte dans l'activité d'écriture en question, dans le sens où je ne pouvais pas tout à fait composer mon texte comme je le désirais vraiment au départ. J'ai même construit certaines phrases spécifiques à la forme ou aux types demandés au préalable, sans contexte, pour ainsi m'assurer que je répondais à toutes les exigences. La tâche s'est donc avérée ardue et moins «naturelle» qu'à l'habitude.

Je ne ferais pas nécessairement ce genre d'exercice avec des élèves du primaire, étant donné que je ne vois pas en quoi cela pourrait les aider en écriture que d'exiger qu'ils emploient différents types et formes de phrases. Peut-être que cela pourrait favoriser la variation de leur style en tant que scripteur, mais je crois qu'au primaire il est plus important de consolider les notions de base sur le contenu et sur la structure d'un texte que d'en développer son style. Imposer aux élèves des contraintes si spécifiques pourrait les amener à rédiger des textes incohérents, car ils voudront seulement se concentrer à composer selon les types de phrases demandés, sans trop se soucier si leurs idées se suivent dans un ordre logique et si leur composition est sensée.

J'attends toutefois de vos nouvelles si vous trouvez des avantages à faire ce genre d'exercice avec des enfants.

Bonne semaine!

Martine Leduc

26 septembre 2006

Carte conceptuelle

Bonjour chères collègues!

Dans le cadre de l'élaboration d'une carte conceptuelle en salle de classe universitaire, j'ai décidé de réaliser cette activité sur une thématique sportive, soit faisant partie du domaine de formation Santé et bien-être. Ma carte conceptuelle a porté sur le sport national du Canada, le hockey. Je n'ai pas eu de difficulté à choisir un sujet, étant donné que je suis une fanatique de ce sport d'hiver et que je possède tout de même certaines connaissances sur ce plan. J'ai donc pu jeter plusieurs idées sur papier en lien avec le sport en question (équipement, règles du jeu, arbitrage, statistiques, joueurs, LNH, LHJMQ, patinoire, etc.), tout en les organisant assez facilement, et ce, afin de me guider dans  la situation d'écriture qui aurait bien pu suivre cette activité de planification.

J'aimerais également ajouter un commentaire qui diverge un peu de la carte conceptuelle proprement dite. Alors, j'ai aussi décidé de choisir le hockey pour la simple et bonne raison que je compte devenir une enseignante en adaptation scolaire, ce qui fait en sorte que je risque de travailler auprès d'une clientèle surtout masculine dans ma carrière, si je me fie aux diverses études réalisées portant sur les élèves éprouvant des troubles d'apprentissage. Voilà donc pourquoi je trouve qu' il est important de trouver des activités d'apprentissage adaptées à la clientèle et qui rejoignent ses intérêts. Le hockey fait peut-être très stéréotypé comme sujet, mais je me suis inspiré de mon stage I dans une classe spécialisée où, croyez-moi, j'ai pu créer des liens significatifs avec certains élèves en parlant «hockey». C'est toutefois une idée parmi tant d'autres, je tiens à le souligner.  L'important c'est que les enseignantes choisissent des sujets qui intéressent l'ensemble des élèves, quitte à leur demander des suggestions. Elles ne doivent pas toujours traiter leurs propres idées que je trouve parfois trop...féminisées.

Si je reviens à la carte conceptuelle faite en classe, c'était la première fois que j'en réalisais une et j'ai bien aimé l'expérience. Je n'ai pas vraiment éprouvé de difficulté dans ma démarche. Je suis toutefois consciente qu'en ayant le choix du sujet, cela a facilité la tâche. Je trouverais probablement cela plus ardu que d'élaborer une carte conceptuelle sur une thématique qui m'est moins connue, car dans ce cas on peut se creuser les méninges longtemps! Je crois que c'est une activité de planification d'écriture très pertinente à utiliser avec les élèves, et ce, à tous les âges. Je trouve que cela est même plus intéressant que de faire un plan de rédaction «traditionnel». Les élèves plus jeunes ou encore éprouvant des difficultés en écriture pourraient utiliser des dessins pour faire leur carte conceptuelle, rendant donc la tâche plus facilitante et motivante pour eux. Les élèves visuels vont également y trouver leur compte, sans contredit! Les enseignantes doivent toutefois bien expliquer aux élèves comment organiser de façon cohérente leurs idées et quel est le but de ce genre d'exercice afin que tout soit clair. Je dirais aussi que les enseignantes devraient jeter un coup d'oeil sur toutes les cartes conceptuelles de leurs élèves au départ, afin de s'assurer qu'ils comprennent bien la tâche. Pour ceux qui sont plus expérimentés, je crois qu'il serait aussi important de leur faire comprendre qu'il est toujours possible, en cours de rédaction, d'ajouter ou encore de ne pas utiliser certains éléments écrits au préalable sur leur carte conceptuelle. Utiliser le logiciel Inspiration peut également être intéressant pour les élèves plus âgés. Je fais bien entendu référence à l'intégration des technologies de l'information et de la communication (TIC) en éducation!

J'aimerais aussi faire un lien avec les mathématiques dans le cadre de l'élaboration d'une carte conceptuelle comme activité de planification d'écriture. Celle-ci permet aux élèves de construire divers schémas et graphiques, ainsi que d'apprendre à «lire» et à comprendre ceux-ci.

Qu'en pensez-vous?

Martine Leduc

18 septembre 2006

Pub

Étant une passionnée du monde de l’éducation et aimant relever de nouveaux défis, l’enseignement en adaptation scolaire est véritablement fait pour moi. Je sais motiver les élèves et leur donner l’envie d’apprendre en faisant preuve d’originalité et de dynamisme, tout en ayant des objectifs clairs ainsi que des attentes réalistes face à eux. Disponible, patiente et juste, j’ai aussi une grande capacité d’adaptation qui me permet de garder en tout temps un milieu propice aux apprentissages. Bref, je m’engage à développer le savoir, le savoir-être et le savoir-faire des élèves, et ce, avec une passion contagieuse.

Commentaires

Au premier abord, l’activité d’écriture semblait relativement facile à réaliser. Par contre, quand il est venu le temps de rédiger, c’était une tout autre histoire! J’ai trouvé plutôt difficile d'identifier mes principales qualités en tant qu’enseignante, considérant mon peu d’expérience dans le domaine de l’éducation. Je n’avais en tête que les rétroactions positives reçues au cours de mon premier stage pour me donner des idées quant à ma rédaction. Il est déjà difficile pour moi d’étaler au grand jour certaines de mes qualités en tant qu’individu, alors identifier mes qualités en tant qu’enseignante qui feraient en sorte de me démarquer du lot, de capter l’attention et de susciter la curiosité chez autrui n’était vraiment pas facile en soi!

De plus, n’avoir que dix minutes pour réaliser cette tâche qui demandait une certaine réflexion n’aidait pas le processus rédactionnel selon moi. Il aurait été intéressant d’avoir un plus long laps de temps pour ainsi avoir la possibilité de faire certaines explorations quant aux qualités des enseignants qui sont recherchées par les élèves, les parents, les commissions scolaires et les directions d’école. Le destinataire de la publicité n’ayant pas été identifié, j’ai tout de même déduit que celle-ci s’adressait à des futurs employeurs. C’est tout de même eux qui engagent les enseignants et qui demandent à ces derniers de se « vendre », ceci étant l’objectif de la rédaction d'une publicité. J’ai toutefois éprouvé de la difficulté à être concise dans mon message, voilà pourquoi il est peut-être un peu long pour un texte publicitaire.

C’était toutefois plaisant de se mettre dans ce contexte, dans cette optique médiatique pour rédiger. Cela pourrait s’avérer être une activité d’écriture intéressante et surtout différente pour les élèves du primaire lors de futurs stages en adaptation scolaire. Ils pourraient ainsi pratiquer à être concis dans leurs propos et apprendre à s’affirmer en tant qu’individu. Il y a aussi le fait que la publicité nécessite la rédaction d’un court texte, cela devenant donc un facteur motivant pour les élèves qui éprouvent des difficultés en écriture.

Martine Leduc

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11 septembre 2006

Mes réflexions sur l'activité d'écriture 1

Le sujet des vacances d’été comme première rédaction de l’année scolaire est très typique et courant dans les classes du primaire. Ce n’est pas nécessairement une mauvaise idée en soi selon moi, car cela permet à tous les élèves de s’exprimer sur un thème qui s’avère assez simpliste, tout en leur permettant de se « réchauffer » et de se « dérouiller » par rapport au processus rédactionnel. Par ailleurs, il peut être intéressant que l’enseignant-e leur donne quelques pistes de ce qu’il/elle s’attend à voir dans leur texte. Cela guide les élèves et évite qu’ils écrivent des redondances. Il faut toutefois avouer que ce n’est pas le sujet le plus original et motivant qui existe! Je crois que de faire discuter les enfants verbalement de leur été, en grand groupe, peut s’avérer beaucoup plus agréable. Dans cette condition, les élèves peuvent partager tous ensemble de leurs diverses expériences et activités réalisées durant l’été. Ils ont généralement si hâte de revoir leurs amis(es) et de discuter avec eux!

Si je me penche maintenant plus spécifiquement sur l’activité d’écriture réalisée en classe universitaire, je considère que les étudiants n’avaient pas beaucoup de temps pour rédiger le texte en question. Il fallait donc qu’ils fassent un résumé et n’écrire que l’essentiel. Je crois toutefois que pour des étudiants universitaires, la tâche était bien réalisable. Il suffisait de mettre sur papier au préalable les grandes idées résumant les vacances d’été et le tour était joué! Par ailleurs, la présence d’outils de référence dans la classe aurait été de mise! L’absence d’un dictionnaire et d’une grammaire a compliqué un peu les choses. Pour ma part, j’ai parfois dû changer mes constructions de phrases ou encore certains termes dont je n’étais pas certaine de leur exactitude et s’ils étaient adéquats, pour d’autres qui étaient plus simplistes. Voilà pourquoi il est important que les enseignants-es du primaire s’assurent qu’il y ait une quantité appropriée d’outils de référence de toutes sortes en salle de classe, et surtout, s’assurer que les élèves soient en mesure de les utiliser correctement, et les encourager à le faire. C’est primordial! De plus, je considère que l’atmosphère de la classe était favorable pour rédiger un texte. Le silence est de rigueur dans les situations d’écriture afin de donner la chance à tout le monde de se concentrer et d’être attentif à leur rédaction.

Ma première petite production écrite de la session m'a rappelé des souvenirs du primaire et ce fut plaisant. Ne vous gênez surtout pas maintenant de me faire part de commentaires ou encore de m'indiquer des erreurs, je suis bien ouverte aux critiques constructives et je suis toujours en mode « apprentissage »!

Martine Leduc

10 septembre 2006

Mes vacances d'été !

Jeune étudiante universitaire que je suis, l’ensemble de mon été se résume à un verbe d’action : travailler ! J’ai eu la chance d’avoir un poste à temps complet de la fin mai au début septembre comme éducatrice spécialisée dans un centre de jour d’un CHSLD. J’avais un horaire fixe qui me plaisait beaucoup, soit du lundi au vendredi, de 8h30 à 16h00. J’ai adoré travailler avec des personnes âgées en perte d’autonomie et avec mes collègues, des personnes des plus dynamiques. J’ai donc pu amasser une bonne somme d’argent pendant la saison estivale, et ce, tout en acquérant une expérience de travail très intéressante et enrichissante sur le plan humain et professionnel. 

Par ailleurs, j’ai aussi pris le temps de me reposer une journée entière au spa scandinave Le Nordik, à Chelsea, endroit de prédilection pour la détente et pour refaire le plein d’énergie. J’ai également assisté au spectacle de l’humoriste Dominic Paquet et à la comédie musicale Dracula au cours de l’été, deux divertissements fort appréciés. De plus, je me suis retrouvée en famille et entre amis(es) pour faire la fête à quelques reprises, comme au mariage de mon cousin et lors de deux épluchettes de blé d'Inde !

Finalement, j’ai profité des journées pluvieuses pour lire un peu, soit le roman policier Sans pardon de Chrystine Brouillet et l’enquête sur les libérations conditionnelles de Yves Thériault, intitulée Tout le monde dehors !. Voilà un court résumé de mon été qui fut assez occupé, mais fort plaisant ! Comme toute bonne chose a une fin,  il est maintenant temps que je retourne réchauffer les bancs d’école un peu ! Bonne session à tous et à toutes !

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